mardi 29 mai 2018

Analyse olfactive des romans du prix

On oublie parfois, et encore plus lorsque c’est un roman, qu’un livre est aussi un objet : un objet en trois dimensions, que l’on peut voir, regarder, admirer, toucher, tâter, saisir, retourner, feuilleter, déplacer, serrer dans ses bras au besoin, ou encore, sentir.
Et oui, car si la couverture et sa beauté sont des déclencheurs de lecture, l’odeur en est aussi un.
Alors voilà, pour tous ceux que l’analyse olfactive des romans dans lesquels nous avons, plusieurs heures durant, plongé notre nez, intéresse, nous vous souhaitons une bonne lecture.


DISCLAIMER :
cette critique n’a pas pour but ni de juger la qualité d’écriture, ni celle de l’intrigue mais uniquement la senteur des romans sur court, moyen et long terme.
Chacune des références éditoriales utilisées est l’avis strictement personnel des auteurs de cette critique. Cordialement.


Classement et analyse olfactive


-Un détective très très très spécial : odeur de nourriture pour poissons (ou pour hamsters pour certains ) mais se perd vite dans l’odeur de lessive des draps de ses lecteurs (et heureusement !)
1/5

-Lucky losers : odeur plutôt agréable (quoi qu’un peu fade) de papier mais l’odeur de la colle prend le dessus ( Dommage ! )
3/5

-Je suis ton soleil : l’odeur de la colle est plaisante et elle ne gâche pas, ni ne prend le dessus sur le papier mais « l’arrière odeur » est légèrement gênante et in-identifiable...
3,5/5

-Le  garçon qui courait : odeur assez mauvaise aux premiers abords mais s’améliore au fil du temps, peut paraître semblable aux éditions Robert Laffont (très bon point !)
4/5

-Rage : odeur de bonne colle/de bon papier, un peu à la Lumen et au Gallimard grand format avec des pages épaisses, odeur de livre de qualité, très agréable !
-0,25 pour la longévité de l’odeur
4,75/5


Evodie et Margaux

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