mardi 26 mars 2019

Un moment marquant de "Paris est tout petit" en BD



« J’ai choisi de réaliser une planche de bande-dessinée sur Paris est tout petit pour mettre le passage qui m’a marquée en avant. Cette planche de B-D comporte quatre cases et illustre le moment où Gabin, Roman et Inès apprennent que Marie-Castille, la mère, est au Bataclan, où il y a une prise d’otages. »

Lola, 3A

lundi 25 mars 2019

Un passage marquant dans "Sauvages"

« Plus foncés que la moyenne , on leur avait plusieurs fois lavé le visage à l'eau de javel pour tenter de les éclaircir un peu.», page 73

J'ai choisi ce passage car je trouve que c'est très cruel de faire subir ce genre de choses à des personnes qui n'ont rien fait de mal et je ne pensais pas que les hommes de l'époque étaient capables de faire cela.

Louna, 3A

mardi 12 mars 2019

Mon extrait préféré

« Une armée de mots,
Entraînés à la dure, sans pitié.
[…]
Ils sont devenus imparables.
Capables d’enfoncer des soupirs.
D’écarter des paupières.
De franchir des regards de côté.
Des mots qui ne font pas de prisonniers et gagnent des guerres avant qu’elles ne commencent.
Aiguisés. Pointus.
Des mots qui font mal.
Qui visent et qui tuent.
Pas de ceux qui chatouillent, qui taquinent, qui dérangent.
Mais de ceux qui brisent, et vous laissent là, étendu sur le sol.
Si je desserre les dents ils vont couler des mes lèvres, de ma bouche.
Ils vont envahir ce monde.
Une bave de vérité vraie.
Et rien ne sera plus pareil après ça.
C’est certain. »

Ce passage est mon préféré car il illustre très bien le grand pouvoir des mots et en particulier de ceux qui détruisent et qui libéreront, peut-être, le narrateur de son fardeau.

Judith

soixantes douzes heures

                                                                  Extrait que j'ai aimé



"Je suis devenue mère , mais Max  grandira sans moi , en dépit de cette tendresse qui m'envahit et enfle à vue d’œil " ( p.22)

J'ai aimé cet extrait car c'est touchant .
En fait, Irène raconte ces trois derniers  jours les plus longs pour elle, cette parenthèse sont les souvenirs d'Irène . Elle dit que le bébé  va grandir sans elle, donc c'est triste. Ce que j'ai surtout aimé c'est que l'auteur ne juge pas l'adolescente : c'est pour cela  que j'ai choisi cet extrait .

 Kamélia 

vendredi 1 mars 2019

Mes souffrances dans cet enfer.


Pourquoi ne vois-tu donc pas le mal que tu m'as fait ? 
J'avais juste neuf ans et ma mère était absente. 
Pourquoi as-tu donc abusé de ton propre fils ? 
T'es qu'un sale pervers et même un dégueulasse qui ne pense qu'abuser des petits. 
Je grandis et je vis dans cet enfer. 
Tu es cruel et tu n'as pas de cœur. 
Neuf ans que je vis ce cauchemar et que je te déteste.

CHEN-YAO Sarah.


                                                                        SI JE POUVAIS



  Si je pouvais le dire ...
...  Je dirais que le monde est trop cruel pour que je puisse m'exprimer.
... Même ma propre famille fait partie de ces gens cruels, une raison de plus de ne pas  dire ce qui me hante l'esprit.
... J'ai besoin d'évacuer mais mes cordes vocales sont comme bloquées, impossible de le dire à une personne proche de moi.
.... Quiconque écouterait  me prendrait pour un fou mais pas grave je le dirais pour que ce malheur n'arrive pas à d'autres que moi.

MARCELIN Laura